L'agencement de la maison était déjà déterminé à l'achat. Le séjour au rez-de-chaussée donne sur un jardin verdoyant et l'impressionnante façade de l'ancienne caserne. « Il s'agit d'une construction neuve, mais pour moi, cela ne devait pas rester ainsi. » Pour l'intérieur, Jeroen a donc opté pour beaucoup de bois : un élégant sol en bois et un solide escalier en bois, menant à la cuisine, attirent l'œil. Les travaux, coordonnés par Matexi et Ciril, se sont déroulés sans encombres. « L'aspect chaleureux à l'intérieur offre un joli contraste avec la structure un peu plus froide de De Kazerne. » Les plantes devant la grande porte-fenêtre prolongent le jardin à l'intérieur.
De bons voisins dans la grande ville
Quand il fait beau, Jeroen installe son banc dans le jardin. « C'est une oasis de tranquillité. De plus, j'apprends ainsi à connaître les autres résidents du quartier entouré de murs. J'ai vécu vingt ans à Gentbrugge. Ceci est un nouveau départ. » Il le dit en riant, mais Jeroen pense vraiment ce qu'il dit. « Un voisin proche vaut mieux qu'un frère éloigné. Le sentiment de communauté, qui doit encore se développer un peu, est certainement l'un des éléments qui m'ont séduit dans ce projet. »
Camiel (10 ans) et Stella (7 ans) étaient excités à l'idée de déménager en ville. « Quand on a le temps, on se promène jusqu'en centre-ville pour aller manger une glace ou boire un bubble tea. » Jeroen espère que d'autres familles avec enfants viendront s'installer à De Kazerne. « C'est un chouette endroit pour nouer des amitiés. En tant que parent, c'est aussi agréable de voir que ses enfants peuvent faire du patin à roulettes en toute insouciance dans la cour intérieure. » Et s'ils venaient à en avoir assez, le parc de la Citadelle ne se trouve qu'à quelques pas.
Lui-même apprécie le luxe offert par la proximité de la ville animée. « Quand on y réfléchit, on habite dans un lieu très tranquille, à 5 minutes à pied du centre-ville et on n'a jamais de problèmes pour se garer. » Jeroen constate qu'il n'utilise presque pas la voiture les semaines où il n'a pas les enfants. « On a tout à proximité, ici. » Et un café habituel ? Il n'en a pas encore. « Mais j'aime aller prendre un verre au Yalo, sur le Brabantdam. C'est plus près qu'on ne le croit. »
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