Histoires du quartier

« J'ai vécu vingt ans à Gentbrugge. Ceci est un nouveau départ. »

3 avril 2024

Jamais deux sans trois ? Plus pour Jeroen (48 ans). Il n'avait pas envie d'entreprendre des rénovations de taille pour la troisième fois dans sa vie, donc il a choisi une maison urbaine parachevée au sein des épais murs de De Kazerne. « On habite au cœur de la ville sans les désagréments du centre historique de Gand. C'est génial. »

Si on enlève nos chaussures avant d'entrer dans sa maison ? Jeroen est l'un des premiers résidents de De Kazerne, le nouveau quartier résidentiel développé par Matexi et Ciril. « Les travaux ne sont pas encore terminés dans le bâtiment, donc il peut y avoir beaucoup de poussière dehors. » Mais cela ne le dérange pas. Pour lui, la caserne Léopold constitue le point de chute idéal, un endroit où ses deux enfants de sept et dix ans pourront grandir sereinement.

Bienvenue dans la maison urbaine conviviale et fonctionnelle de Jeroen !
Construite contre l'intérieur des murs d'enceinte de De Kazerne.

 

Nouvelle construction conviviale

Prêtez-y attention la prochaine fois que vous passerez le long de la caserne Léopold : les murs de cette caserne semblent avoir été renforcés. De nouvelles structures larges en briques jaunes ont été ajoutées par-dessus les murs d'enceinte. Ce ne sont pas des cantines ou des postes de garde de l'armée belge, qui a d'ailleurs encore un bureau au sein de la caserne Léopold, mais les toutes nouvelles maisons urbaines réalisées par Matexi et Ciril.

« Dans ma vie, j'ai déjà fait des rénovations à deux reprises », déclare Jeroen tout en nous offrant un café. « Je ne me voyais pas le refaire une troisième fois. » La maison familiale de 150 m² sur trois étages dans De Kazerne tombait donc à point nommé. Trois chambres à coucher, deux salles de bains, une cuisine lumineuse et une terrasse spacieuse. Idéal pour une famille de trois personnes. « Les enfants sont chez leur mère cette semaine, c'est donc encore un peu plus calme ici. »

« Quand on y réfléchit,
on habite dans un lieu très tranquille, à 5 minutes à pied du centre-ville et on n'a jamais de problèmes pour se garer. »

L'agencement de la maison était déjà déterminé à l'achat. Le séjour au rez-de-chaussée donne sur un jardin verdoyant et l'impressionnante façade de l'ancienne caserne. « Il s'agit d'une construction neuve, mais pour moi, cela ne devait pas rester ainsi. » Pour l'intérieur, Jeroen a donc opté pour beaucoup de bois : un élégant sol en bois et un solide escalier en bois, menant à la cuisine, attirent l'œil. Les travaux, coordonnés par Matexi et Ciril, se sont déroulés sans encombres. « L'aspect chaleureux à l'intérieur offre un joli contraste avec la structure un peu plus froide de De Kazerne. » Les plantes devant la grande porte-fenêtre prolongent le jardin à l'intérieur.

De bons voisins dans la grande ville

Quand il fait beau, Jeroen installe son banc dans le jardin. « C'est une oasis de tranquillité. De plus, j'apprends ainsi à connaître les autres résidents du quartier entouré de murs. J'ai vécu vingt ans à Gentbrugge. Ceci est un nouveau départ. » Il le dit en riant, mais Jeroen pense vraiment ce qu'il dit. « Un voisin proche vaut mieux qu'un frère éloigné. Le sentiment de communauté, qui doit encore se développer un peu, est certainement l'un des éléments qui m'ont séduit dans ce projet. »

Camiel (10 ans) et Stella (7 ans) étaient excités à l'idée de déménager en ville. « Quand on a le temps, on se promène jusqu'en centre-ville pour aller manger une glace ou boire un bubble tea. » Jeroen espère que d'autres familles avec enfants viendront s'installer à De Kazerne. « C'est un chouette endroit pour nouer des amitiés. En tant que parent, c'est aussi agréable de voir que ses enfants peuvent faire du patin à roulettes en toute insouciance dans la cour intérieure. » Et s'ils venaient à en avoir assez, le parc de la Citadelle ne se trouve qu'à quelques pas.

Lui-même apprécie le luxe offert par la proximité de la ville animée. « Quand on y réfléchit, on habite dans un lieu très tranquille, à 5 minutes à pied du centre-ville et on n'a jamais de problèmes pour se garer. » Jeroen constate qu'il n'utilise presque pas la voiture les semaines où il n'a pas les enfants. « On a tout à proximité, ici. » Et un café habituel ? Il n'en a pas encore. « Mais j'aime aller prendre un verre au Yalo, sur le Brabantdam. C'est plus près qu'on ne le croit. »

Vous souhaitez en savoir plus sur De Kazerne à Gand ?

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